Marnie
Ca, oui, elle était belle, Marnie. Dans son voile d'innocence, ses cheveux or brillants en cascade sur ses épaules. Elle venait, vous parlait, vous offrait son petit coeur sur un plateau, toute rayonnante de naïveté. Elle était belle, elle était jeune, on l'aimait. Elle travaillait bien, elle n'avait aimé de garçon. On l'adorait dès l'intant où l'on apercevait ses petits yeux bruns. Elle était mignonne, dans ses petites robes rouges, avec ses petits souliers noirs bien cirés. Elle était pure, jeune, innocente.
La petite Marnie grandissait, s'embellisait, mais elle était toujours naïve, toujours aussi pure, belle, innocente.
Puis, ses parents l'ont mise dans une école où les professeurs était méchants aves elle. Ils la ridiculisait, mais Marnie ne disait rien. Elle se laisait maltraiter. Elle haït en silence. C'est a ce moment que Marnie arrêtat de sourire. Elle gardait ses yeux miels pleins d'amertume fixés sur le sol. Elle souffrait en silence.Ses épais cheveux blonds étaient toujours en natte, pendant mollements sur ses épaules baissées. Ses professeurs détruisaient toute son innocence. Marnie savait à présent ce que c'était de souffrir. Elle sut ce que c'était de vivre ses cauchamrds mais de rêver une autre vie. Quand ses parents ont compris qu'il fallait vite la retirer de là, ils comprirent que Marnie ne serait plus jamais cette petite fille qui était toute innocente, que plus jamais, jamais, Marnie n'offrirais son coeur au premier venu.
Marnie changea d'école. Elle fit des efforts, elle joua celle qui est heureuse, mais elle déprimait souvent. Elle ne voyait plus le monde de ses yeux d'enfant, qui voyent toujours le bien, et qui croyent que les méchants se reconnaissent grâce à leurs yeux rouges et leurs chapeaux pointus.Elle avait perdu son innocence. Mais elle était toujours aussi pure, belle, jeune, mais plus naïve, ni innocente. Son état s'améliorait, mais il manquait quelque chose dans la vie de Marnie. Elle ne savait pas quoi. Mais il y avait un vide, dans son sein gauche a peine naissant. Marnie travaillait bien, et plusieurs garçon l'aimaient. Mais elle voulait attendre. Elle ne les aimait pas. Ses amies restaient avec elle, elles l'aisaient. Oui, Marnie allait de mieux en mieux. Marnie devenait une jeune fille. Sa puberté commençait. Son corps changeait. Ses amies, pas encore. Comme pour son innocence, Marnie était en avance sur les autres.
Un jour, elle écouta une fille parler de son petit ami. Elle les vit se prendre par la main, discuter, s'embrasser... Alors Marnie sut ce qu'il lui manquait. Elle déprima. Elle devint triste, triste, elle était jalouse à sa manière. Elle les regardais, les yeux pleins de haine. Elle se renfermait. Ses amies s'éloignaient. Elle se sentait seule. Fachée. Triste. Haineuse. Jalouse. Elle aurait voulu aimer un garçon. Et qu'il l'aime. Qu'elle le regarde, les yeux plongés dans les siens. Ne plus compter le temps. Aimer, être aimée. Mais l'amour ne viens pas comme tout. Les bonnes notes s'obtiennent en travaillant. Les amies en socialisant. L'amour ne s'obtient pas. Il vient seul, sans qu'on en décide. Marnie le comprenait. Mais ça ne lui plaisait pas du tout.
Puis un jour, sans raison, elle se promenait dans la cour de son école, et là, "IL" est apparu. Elle s'est arrêté, confuse, rt complètement sonnée. "IL" était parfait, "IL" était pris. Elle attendis, en vain. S'en suivit ''le silence.''
La petite Marnie grandissait, s'embellisait, mais elle était toujours naïve, toujours aussi pure, belle, innocente.
Puis, ses parents l'ont mise dans une école où les professeurs était méchants aves elle. Ils la ridiculisait, mais Marnie ne disait rien. Elle se laisait maltraiter. Elle haït en silence. C'est a ce moment que Marnie arrêtat de sourire. Elle gardait ses yeux miels pleins d'amertume fixés sur le sol. Elle souffrait en silence.Ses épais cheveux blonds étaient toujours en natte, pendant mollements sur ses épaules baissées. Ses professeurs détruisaient toute son innocence. Marnie savait à présent ce que c'était de souffrir. Elle sut ce que c'était de vivre ses cauchamrds mais de rêver une autre vie. Quand ses parents ont compris qu'il fallait vite la retirer de là, ils comprirent que Marnie ne serait plus jamais cette petite fille qui était toute innocente, que plus jamais, jamais, Marnie n'offrirais son coeur au premier venu.
Marnie changea d'école. Elle fit des efforts, elle joua celle qui est heureuse, mais elle déprimait souvent. Elle ne voyait plus le monde de ses yeux d'enfant, qui voyent toujours le bien, et qui croyent que les méchants se reconnaissent grâce à leurs yeux rouges et leurs chapeaux pointus.Elle avait perdu son innocence. Mais elle était toujours aussi pure, belle, jeune, mais plus naïve, ni innocente. Son état s'améliorait, mais il manquait quelque chose dans la vie de Marnie. Elle ne savait pas quoi. Mais il y avait un vide, dans son sein gauche a peine naissant. Marnie travaillait bien, et plusieurs garçon l'aimaient. Mais elle voulait attendre. Elle ne les aimait pas. Ses amies restaient avec elle, elles l'aisaient. Oui, Marnie allait de mieux en mieux. Marnie devenait une jeune fille. Sa puberté commençait. Son corps changeait. Ses amies, pas encore. Comme pour son innocence, Marnie était en avance sur les autres.
Un jour, elle écouta une fille parler de son petit ami. Elle les vit se prendre par la main, discuter, s'embrasser... Alors Marnie sut ce qu'il lui manquait. Elle déprima. Elle devint triste, triste, elle était jalouse à sa manière. Elle les regardais, les yeux pleins de haine. Elle se renfermait. Ses amies s'éloignaient. Elle se sentait seule. Fachée. Triste. Haineuse. Jalouse. Elle aurait voulu aimer un garçon. Et qu'il l'aime. Qu'elle le regarde, les yeux plongés dans les siens. Ne plus compter le temps. Aimer, être aimée. Mais l'amour ne viens pas comme tout. Les bonnes notes s'obtiennent en travaillant. Les amies en socialisant. L'amour ne s'obtient pas. Il vient seul, sans qu'on en décide. Marnie le comprenait. Mais ça ne lui plaisait pas du tout.
Puis un jour, sans raison, elle se promenait dans la cour de son école, et là, "IL" est apparu. Elle s'est arrêté, confuse, rt complètement sonnée. "IL" était parfait, "IL" était pris. Elle attendis, en vain. S'en suivit ''le silence.''
